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La Gueule est un petit affluant de l'Elgevinn prenant sa source dans les Monts de l'Athaela. Le cour d'eau porte ce nom depuis les années 150 et des poussières, alors que le roi Gahalad Ier Winingice guerroyait pour assoir sa suprématie. Une importante bataille eut lieu sur ses rives, et le temps d'une journée la rivière se teinta de rouge. D'où l’appellation inspirée de la couleur héraldique "de gueule".
La rivière n'est pas navigable, en tout cas pas pour les grand bateaux de commerce : l'eau n'est pas assez profonde en saison estivale, juste assez pour tremper un mustin jusqu'à la poitrine (rappel : profondeur moyenne pour saison estivale).
En de nombreux points, les voyageurs peuvent toutefois traverser à gué, ou sur des ponts. Ce cour d'eau n'est pas très dangereux et les noyades sont peu fréquentes, car son courant est très lent... Sauf au printemps, en période de dégel, où les crues sont par contre très fréquentes.
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Petit hameau à la prononciation imprécise bâtit au bord de la Gueule, non loin de Nräel (le trajet peut être fait à pied en moins d'une heure), et encore plus près de son moulin.
On sait que l'activité principale est l'élevage de mouton et la culture des céréales. A quelques pas des maisons, l'orée du bois.
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Malgré son association au petit village de Nräel, le vieux moulin de pierre se trouve à plusieurs kilomètres des premières maisons. Au milieu des champs de blé et de seigle, idéalement positionné pour prendre le vent par toutes saisons.
Fièrement campé au sommet de sa colline, le moulin a subit tant et tant de réparation au cour des années qu'il paraitrait comme neuf aujourd'hui. C'est que le meunier, avec son fils, ne chôment pas contrairement à ce que voudrait leur réputation.
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Comme expliqué précédemment, les écuries du village élèvent exclusivement des "poneys de Naerthena", cette race sélectionnée au fil des génération pour sa petite taille et ses longs poils, adaptés respectivement aux pattes courtes des mustins et au froid glaçant de ces régions au nord d'Aurorès.
L'éleveur est un vieux blaireau que tout le monde au village se souvient toujours d'avoir vu là, à ce poste, sans jamais céder un poney à qui que se soit de connu dans les environs. Depuis peu, il a tout de même un apprentis, car il a conscience qu'il commence à se faire vieux. (apprenti : personnage d'ailleurs ouvert aux inscriptions)
Les écuries ne sont pas très grande : deux prés à l'extérieur dont l'un à une centaine de mètres des boxes, et la partie intérieure qui abrite les stalles des poneys, avec une petite coure devant. Le toit est en chaume, comme tout les autres bâtiments du village, et la maison du blaireau est accolée aux écuries.
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La taverne est le seul bâtiment du village à posséder un étage : c'est là que se trouve les deux chambres louables pour la nuit. C'est le deuxième bâtiment à droite en arrivant du sud, juste après l'élevage de poneys.
Il y a les tables à l'extérieur, où les hommes et les femmes peuvent se retrouver en journée aux heures d'ouverture, et la pièce commune à l'intérieur, où il fait bon vivre le soir juste avant le couvre-feu.
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