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Comme tout peuple qui se respecte, les différentes régions d'Aurorès ont leurs propres légendes, leurs croyances. A cette époque ou la transmission populaire se fait surtout par orale, comment faire le tri entre légende et réalité ?
Dans les Monts de l'Ouest, par exemple, on entend plusieurs récit de vision de dragon dans le blizzard, de vouivre au sommet des montagnes, ou autres créatures ailés improbables.
Parfois vu comme des guides ou des créatures bienfaisantes, les dragons sont rapidement considérés comme terribles et dangereux lorsqu'on passe plus à l'est, vers les autres royaumes.
Les créatures comme les manticores ou les tarasques sont tout aussi réputées : sauvages, monstrueuses, terrifiantes... des grands méchants loups pour faire peur aux enfants pas sages ou des racontars d'ivrognes, peut importe le contexte, tout le monde a entendu parlé d'eux de près ou de loin.
Pour les reptiliens, chez qui les croyances aux esprits est très présente, la nature cacherait de multiples petites créatures, bonnes ou mauvaises, qui pourraient nous getter de derrière chaque feuilles. Chapardeurs, malins, malfaisants ou sympathiques, on a l'habitude de les surnommer les "korrigans".
Chez les mustins, qui n'a jamais entendu parlé des fées ? On raconte qu'un sixième peuple vivrait à Aurorès, mais avec tellement de discrétion que personne ne l'aurait jamais vu. Normal : d'après les légende, il s'agirait d'un peuple-papillons, avec des êtres aux caractéristiques d'insectes. Mais, petits ou pas, si personne ne les a jamais vu, comment pourrions-nous connaître leur existence ?
Quand aux marins, ils sont terrifiés à l'idée de croiser un serpent de mer dans ce genre.
Autre animal tenant une place importante dans l'imaginaire collectif : la licorne. Tantôt décrite comme un mélange de chèvre, de cheval et de lion, tantôt comme un âne plus grand qu'un cheval et d'une blancheur de neige, toujours est-il qu'on retrouve son attribut principal : la longue et unique corne qui orne son front.
Les apothicaires affirment que la corne de licorne aurait des vertus médicinales fortes, et qu'une coupe en corne de licorne accorderait l'immunité aux poisons à ceux qui boiraient dedans. Grâce à sa corne, elle pourrait de même purifier les eaux d'un cour d'eau.
Cet animal fabuleux est considéré comme un symbole ambigu de sauvagerie et de férocité, mais aussi de pureté et de chasteté.
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L'axe principal de Havreblanc. Il traverse la ville de part en part et est continuellement bondées de passants. La Grand'Rue est aussi la plus large et la plus sûre, car des gardes y patrouillent de jour comme de nuit.
Vivante et bruyante, elle est aussi la rue la plus animée de la cité. On y trouve maints petits commerce, quelques auberges et tavernes, des habitations, des locaux d'artisans... un petit peu de tout en bref.
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La rue qui mène jusqu'aux docks. Souvent rendue vivante par les marins remontant du port ou les tavernes qui la borde, la Rue des Ecaille est aussi le repère favoris des poissonniers à la sauvette et des petits vendeurs des ruelles.
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Le port est séparé par des rempart du reste de la cité, ce pour éviter les invasions par la mer. Mais en temps de paix, les lourdes portes de la Rue des Ecailles sont toujours ouvertes à tous.
Le Port des Havreblanc est le plus fameux du royaume, et des bateaux de tout les horizons y accostent tout les jours.
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Une bonne partie de l'année, la place du marché est la plus active de la cité. Il n'y a qu'en hiver, lorsque les températures commencent à devenir trop basse pour que les marchants ambulants puissent rester tout la semaine devant leurs stands à héler les passants, que le marché est alors ouvert uniquement trois jours par semaine.
La place est accolée aux remparts qui séparent le port du reste de la ville.
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