• (personnage de Anotcha)

     Prénom : Alphonse

    Nom : Abelard

    Surnom : Le Garde Qui Ne Souriait Jamais

    Age : 32 ans

    Sexe : Masculin

    Peuple : Félin

    Apparence et image :

    Caractère : Alphonse est un chat un peu bourru, il a tendance à ne jamais sourire en présence des autres (que ce soit sa famille ou un parfait inconnue.) Généralement froid au ton tranchant, il tient néanmoins énormément à sa famille même si il ne le montrerait pour rien au monde.

    Il est devenu garde car il sait bien se battre (et ce depuis son plus jeune âge) et cet activité lui procure un certain calme qui lui est bénéfique.

    Il n’aborde pas beaucoup les gens, mais quand ceux-ci souhaitent lui adresser la parole, ses réponses sont loin d'être pleine de chaleurs et la plupart du temps sarcastiques. Mais son métier mal payé l'énerve (comme beaucoup de choses, qui comprend l'existence des autres ENTRE AUTRE.)

    Profession exercée : Garde

    Histoire et famille :

    Alphonse est le fils aîné d'un oiseleur prétentieux qui s'enorgeuillait d'un nom de famille prestigieux selon lui : Abelard. Il a deux petits frères, Lehonart et Lionel, ainsi qu'une petite sœur, Clarith. Lehonart a un jour montré un don pour la sculpture, et a commencer à très bien en vivre alors que lui, simple garde, commençait à avoir besoin d'argent. Néanmoins, aucune jalousie ne s'est jamais emparée de lui. à voir ce qu'il deviendras.

     

    " Notre monde est cruel, mais il est aussi très beau. "


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  • (personnage d'[étoile de gerfaut])

    Prénom : Lehonart

    Nom : Abelard (voir histoire)

    Age : 29 ans

    Sexe : Masculin

    Peuple : félin

    Apparence et image :

    Joli matou d'un mètre quatre-vingt-cinq et d'un noir bleuté détonnant avec le pelage blanc de son frère Alphonse et de sa soeur Clarith, mais en harmonie avec le gris clair de son frère Lionel et de sa mère. Il a un cicatrice sur l'œil droit, il se l'est faite avec son matériel de sculpteur, la première fois qu'il l'a utilisé. Ses yeux sont d'une belle couleur ambrée et il est habillée très correctement, étalant la richesse qu'il a accumulé grâce à son talent.

    Caractère :

    Lehonart est une personne relativement calme et sympathique. Il est très ouvert, à tout et également d'une curiosité polie. Il n'est pas spécifiquement bavard; il préfère écouter et observer. Il se joint néanmoins volontiers aux conversations avec des sujets très variés, quasiment tout l'intéresse, du moment que ce n'est pas trop osé ou glauque. Il a un certain sens de l'humour, et sa famille compte plus que tout pour lui. Cependant, il n'est pas dépourvu de défauts : il est souvent distrait, et est plutôt rancunier. Il est également assez imprudent.

    Profession exercée : Sculpteur. Lehonart est un artiste, qui sculpte sur pierre comme sur bois. Il vend ses œuvres et heureusement pour lui, il a un certain succès, les riches marchands et les nobles achètent souvent quelques unes de ses créations pour décorer. C'est son petit frère qui les vends, généralement, et ces ventes lui rapportent gros, ce qui fait qu'il est assez riche. Il aimerai étendre son commerce dans d'autres contrées, et ainsi se faire plus d'argent. Pas seulement pour son bien personnel car son grand frère a aussi besoin d'argent, et que Lehonart tiens énormément à sa famille.

    Histoire et famille :

    Lehonart a une famille plutôt grande selon lui, un petit frère nommé Lionel, un grand frère nommé Alphonse et une petite sœur nommée Clarith (plus grande que son petit frère).

    Son père, un oiseleur, a toujours été un peu trop prétentieux, bien qu'aimant de sa famille. Si bien que Lehonart a toujours eu un nom de famille, parce qu'il fallait "déjà donner un héritages aux petits, nous serons donc toujours les Abelard !".

    Cependant, un jour, alors Lehonart se promenait dans les rues, il a vu un sculpteur de pierres au travail. Il s'émerveilla du travail effectué et décida d'essayer. C'est ainsi qu'il a commencé à sculpter, puis a eu l'idée de vendre ses créations. Lionel c'est porté volontaire pour l'aider à les vendre et ainsi est né le commerce des sculpture Abelard. Au départ son père avait peur que son fils devienne pauvre mais quand il a vu que ça marchait bien, toutes ses inquiétudes se sont envolées.

    "Dans la vie, il y a l'échec, la réussite et l'égalité. Les mosaïques de possibilités, c'est n'importe quoi."

    "Un vrai artiste c'est quelqu'un qui ne se vante pas de l'être. Juste, on peut le dire. Une fois, deux fois, trois fois même. Mais après, on vous prendra pour un menteur, et c'est ce que vous seriez : se vanter de ses talents dénature ces mêmes talents."

     


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  • (Personnage de Mad Hatter)

      

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    Apparence et image : (Revali, Breath of the Wild) - Aquilien d'un mètre soixante treize.
    Joué par : Mad hatter

    Prénom : Ohl
    Nom : Mokan
    Surnom: Le nom familier de "la pie" se répand depuis peu autour de lui. Quelques-uns le connaissent pour ses côtés brouillons ainsi que l'intérêt qu'il porte aux choses brillantes.
    Age : 31 printemps
    Sexe : M
    Peuple : Aquilien (rapace)
    Profession exercée : Tisserant

    Caractère :

    ° Expressif
    ° Aimable / Serviable
    ° Social / Loquace
    ° Rationnel / Prévisible
    ° Réactif / Adroit
    ° Désordonné
    ° Facilement Intimidable

    Tout bon aquilien qui se respecte sait être sage, ordonné et juste. Ohl... est loin de cette image. Son esprit n'est pas aussi aiguisé qu'il aurait dû, c'est à peine s'il est possible de l'imaginer plus réfléchi qu'il ne l'est en réalité. Il se comporte le plus souvent comme un grand gamin désinvolte, trop spontané, parfois envahissant.

    L'homme-oiseau reste toutefois lucide sur sa façon d'être et de raisonner. Il compense son cruel manque de sérieux par une forte volonté de bien faire, de soutenir son prochain et apporter son aide à qui la demanderait. En conséquence de quoi il s'attire aisément la sympathie des gens, en plus de faire simplement preuve d'optimisme.

    En étant accoutumé à ses airs enjoués, mêlés au vacarme qu'il génère, on oublie quasiment que Ohl n'est pas devenu naturellement confiant. Son assurance dissimule en réalité un couard craignant l'abandon. Il joue les imbéciles, ne souffre pas d'admettre ses torts, mais ça ne fait pas de lui un inconscient. Il observe dans l'ombre les détails auxquels personne ne prête attention, et attribue toujours le mérite au hasard, à la chance.

    En bref, c'est un type banal, parfois casse-pied mais pas de mauvaise compagnie.

    "Le but d'une erreur est l'apprentissage. Vous n'allez pas m'interdire l'accès au savoir?"
    "Courage déplacé? Insolence? Folie? Non. J'appelle ça: de l'audace!"
    "Ne jamais sous-estimer un imbécile. Ce sont les plus susceptibles de vous surprendre. Et les surprises sont une magie devenue inaccessibles aux intellectuels."

    Histoire et famille :

    ° Ce que la brume couvre en amont...

    Les souvenirs les plus lointains qu'on puisse avoir finissent toujours par se retrouver déformé. Embellir le pire pour alléger une possible peine. Se convaincre d'avoir agit de façon légitime pour ne pas assumer une certaine culpabilité. Pour d'autres, oublier est plus facile.

    Ohl, avant de faire parti d'un peuple, était le petit dernier d'une modeste famille. Ses parents veillaient au bon fonctionnement de leur village tandis que son ainée s'appliquait à profiter de sa supériorité pour lui faire quelques misères. Probablement jalouse de ne plus être fille unique plus que naturellement méchante, elle était capable d'élaborer des plans tous plus tordus que chacun des précédents. Son inventivité surpassait même la naïveté du petit nouveau.

    Un matin dramatique voulu d'ailleurs qu'il casse par erreur un présent destiné à sa soeur. En sachant qu'elle ne pourrait que le détester davantage, il a préféré fuir. Sans emporter quoique ce soit, sans réfléchir, il a couru. Le plus vite possible. Le plus loin qu'il put. C'est là qu'il eut l'idée de se racheter en trouvant un cadeau de remplacement. Peut être même deux. Sa soeur lui avait déjà dit aimer un type de fleur très particulier. Une de celle qui sont grandes, et rares. Une qui évidemment, ne pousse que dans les zones les plus reculées et dangereuses de ces contrées. Ohl, en gamin idiot, l'a crue.

    ° Le vilain petit canard

    C'est ce qui arrive lorsqu'on s'éloigne trop des frontières, lorsqu'on s'aventure là où il ne faut pas. On tombe sur les mauvaises personnes et de fil en aiguille, on se retrouve vendu comme une babiole. On fuit, se perd, et peut être qu'après avoir tiré une leçon de ces erreurs, la chance nous rattrape.

    Ohl avait tout juste sept an lorsque papi Mokan l'a trouvé. Un bon vieux pépère a qui il plaisait de dessiner aux abords de la ville quand il s'accordait une heure de liberté. Il avait aperçu une étrange forme en haut d'un arbre. Le jeune aquilien était éraflé de partout. Les ailes et le bec usé laissait croire qu'il s'était souvent battu, ou avait couru trop longtemps dans la gadoue. Par gentillesse l'aîné lui a d'abord proposé de l'héberger le temps qu'il se remette de ses maux. Le gamin se débrouillerait ensuite. Il ne s'attendait pas à changer d'avis le soir même: "Tu sais quoi? Mes fils préfèrent s'engager dans l'armée pour draguer les minettes. Mais toi, je suis sûr que tu m'aideras!"

    Le lendemain matin aux aurores, le vieux père de famille l'a levé sans se soucier de ses pauvres pattes encore endolories. "Tu vas me regarder faire, et apprendre." Dans un premier temps, le vieux canidé lui est apparu sec, silencieux. En fin de compte, ce n'était que la solitude qui lui avait fait oublier comment se comporter avec ses semblables. Ses deux garçons ne lui rendaient visite qu'occasionnellement. La première fois qu'ils sont venus, en armure, fiers, ils n'ont pas arrêté de le charrier. Ohl s'était interposé. Sa réaction les a amusés. "Papa t'es sérieux, tu ramasses des pigeons de rue maintenant?"

    Le chef de famille s'est levé, et les a invité à quitter les lieux après leur avoir laissé un présent. Parce que lui se rappelait toujours de ces ingrats. De leurs maladresses enfantine, de leurs têtes abattues quand ils tombaient malades. Le père Mokan retrouvait un peu d'eux, en Ohl. Peut être que son adoption n'est qu'une histoire de nostalgie, après tout?

    ° C'est en tissant qu'on devient Tisserant!

    Il n'y a qu'un râleur imparfait pour vous apprendre comment obtenir le meilleur des résultats possibles. Il trouvera toujours à redire. On tient tous ce sens du détail d'un râleur, sans doute.

    Outre son comportement exaspérant, le vieux Mokan s'est révélé être un professeur et un père d'adoption très impliqué. Il ne l'admettra jamais par fierté, mais son air sévère perpétuel n'a jamais été plus qu'une excuse pour le tenir à une certaine distance de sa personne. Certainement parce qu'il avait conscience qu'un jour il partirait aussi. Comme ses deux grands idiots de fils canins. Encore par souci de fierté, il n'admettra pas l'erreur d'y avoir cru. Ohl, même adulte, persistait. Les talents qu'on peut lui trouver dans ce métier, il les devaient à son mentor. En reconnaissance l'emplumé resterait dans ses pattes jusqu'au bout. "Ne me crois pas sénile à ce point, gamin! Je te connais et t'es pas fait pour ce boulot. Tu trouveras mieux à faire ailleurs."

    Avant sa disparition, Ohl pensait réellement qu'il avait perdu l'esprit. Un jour il en veut à ses fils de l'avoir abandonné, un autre il leur donne raison. C'est en s'interrogeant sur la raison qui le poussait à préserver le commerce de Mokan, qu'il a fini par comprendre: lui-même n'aime pas ce travail. Il ne s'en préoccupe que par principe, en mémoire à son vieux père adoptif. Celui-ci souhaitait l'en éloigner pour qu'il puisse se libérer d'une bête promesse faite enfant.

    Hors de question!

    ° Les chiens aboient et la caravane passe

    Avoir deux frères d'adoptions, quelle plaie! On dit que la haine est un savant mélange d'amour et de rancoeur. Heureusement qu'elle implique ici davantage une certaine jalousie. Sans elle les liens qui unie trois imbéciles n'auraient pas étés aussi étroits.

    "Pourquoi tu continues de garder cette vieille boutique de merde?
    - Pourquoi tu persistes à venir dans cette boutique de merde?"

    L'aîné canin grommelait tandis que le second soutenait son regard.

    "Ta femme, elle la veut de quelle couleur son écharpe déjà?"

    Ohl riait intérieurement. Leurs échanges étaient toujours brefs et puérils. Piquants, surtout. Mais c'est leur routine, leur façon d'exprimer l'intérêt qu'ils se portent. Le vieux Mokan s'en retournerait dans sa tombe tellement il en rirait s'il les voyait.

    Et chaque semaine, ça recommence.


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  • A l'ombre d'une enseigne rabotée et repeinte récemment, il est possible de trouver un papier cloué sur une porte en bois brun. Le papier invite à patienter ou repasser plus tard avec une pointe d'insolence. Ceci dit, la porte est trop rarement fermée pour laisser le temps aux clients et visiteurs de s'offusquer d'un tel manque de respect.

    A l'intérieur se trouve une variété de tissus innombrable. Certains sont venus de loin pour satisfaire les personnalités les plus raffinées et exigeantes (ou simplement excentriques?). Des rubans et des bobines de fils traînent encore sur le comptoir. Le propriétaire du commerce n'hésite pas à travailler dans une pièce ouverte à la vue des plus curieux. S'il n'a pas l'air trop ordonné, il n'en reste pas moins méticuleux et appliqué lorsqu'il entreprend un travail.


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  • (personnage de Louve Invisible)

    Prénom : Jazabëlle

    Age : 32 ans

    Sexe : féminin

    Peuple : félin-canin

    Apparence et image :

    Jazabëlle et une belle féline blanche tachetée de noir, cette léoparde des neiges porte souvent une tenue de cuir, ample et confortable.

    Ne la regardez pas dans les yeux quand elle n'est pas joyeuse, c'est une très mauvaise idée, ses yeux verts pourrons vous glacer le sang.

    Quelques petites citations...

    Caractère : Jazabëlle est une femme respectée, elle déteste se faire désobéir et est très autoritaire, si vous lui désobéissez pour une moindre chose, elle serait capable de vous abandonner en plein désert. Elle est consciente de tous ses actes et sais prendre les choses en main. Elle a toujours eu le sens du marchandage. Elle est froide et montre un coeur de pierre. Elle déteste les enfants impertinents. Mais derrière son regard impassible et son allure forte, elle cache une personne de confiance et une amie fidèle.

    Profession exercée : marchande et dirigeante de caravane.

    Histoire et famille : Jazabëlle est née dans une petite ville longeant l'Azurit, elle y a vécu une enfance calme, ormit le faite que sa mère la déteste en répétant qu'elle est née par erreur. Son côté autoritaire la mena à diriger des choses dès son plus jeune âge : d'abord la scierie de son père quand il devait s'absenter de quelques heures, puis au fil du temps, quand il s'absentait de quelques jours. Elle vendait parfois des choses sur le marché de son village. Elle a ensuite entendu des gens dirent qu'ils avaient besoin de se déplacer sur une grande distance, mais que les routes n'étaient pas sûr, une idée, qu'elle soit bonne ou mauvaise, a germée dans la tête de Jazabëlle : elle montera donc son propre convoi de caravanes et vendera ses marchandise dans toutes les villes qu'elle parcourera.

    "Il ne faut jamais baisser les bras quand on sait qu'on ne pourra pas les relever"


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