Le Bois-des-loups est la portion forestière la plus proche de la ville de Crosang. Elle est entrecoupée de clairières et de zones cultivées, mais reste assez étendue, et un endroit privilégié pour la faune sauvage. On y trouve beaucoup de châtaigniers et de chênes.

Arbre de "l'Engelure"

Campagnes

Ce châtaigner est réputé pour être le meilleur moyen de contacter la fameuse assassiner surnommée "l'Engelure". Si vous glissez un mot dans une des fente de son écorce, elle le verra et vous répondra. A vous de vous accrocher.

L'arbre se trouve non loin de Crosang, dans le Bois-des-Loups, bien en évidence au milieu d'une clairière.

(personnage de Lone Cloud)

Prénom :

Tuilleh

Nom :

De Roquembrun

Surnom2:

La Tempête

Age :

26 ans

Sexe :

F

Peuple :

félino-canin

Apparence et image :

Jeune féline habillée comme un peu tous les nobles de l'époque, au corps fin avec quelques courbes subtiles, de sorte que sa silhouette soit un peu anguleuse. Elle a le poil gris, avec des touches plus foncées ici et là, et des yeux ambrés. De taille haute pour une femme, elle peut regarder de face la plupart des gens qu'elle fréquente au château et semble même plus grande que certains hommes à cause du fait qu'elle porte souvent des talons. Ses traits du visage sont assez anguleux aussi. Elle n'est pas musclée mais cela ne veut pas dire qu'il faut la sous estimer. Elle est toujours calme et fait attention à ne jamais montrer ses émotions. On la provoque souvent, mais malgré cela, elle demeure composée et sereine, parfois de manière déstabilisante. Elle a une allure à légèrement garder les gens à distance malgré sa politesse, qu'ils soient tiers état ou nobles.

Profession exercée :

duchesse de Roquembrun

Histoire et famille :

Tuilleh est la fille de l'épouse du seigneur d'un vassal de Montferrant et un conseiller du seigneur, donc une bâtarde. Son beau-père, après avoir découvert que Tuilleh n'était pas sa fille, ne put pas comprendre pourquoi sa femme l'aurait trahi, donc mit toute sa frustration et sa colère sur l'enfant. Désormais, plus personne ne respectait l'enfant illégitime. Même sa mère, qui voulait éviter de s'attirer des embrouilles avec son mari, l'ignorait. Le seigneur interdit sa belle-fille de faire quoi que ce soit. Elle devait toujours rester dans sa chambre, n'avait pas droit à une éducation digne de noble comme sa soeur aînée qui était légitime, ne pouvait pas parler à quiconque, et si jamais il avait passé une mauvaise journée, il se mettrait à se déchaîner sur elle. Un seul serviteur pouvait entrer dans sa chambre pour lui apporter à manger, mais celui ci ne la respectait pas non plus.

Le duc de Roquembrun tenta d'envahir le vassal et mit siège au château. Tuilleh, qui avait alors sept ans, n'en savait rien de ce qui se passait, ayant été mise à part du monde extérieur. Le seigneur, désespéré, tenta de négocier avec le duc de Roquembrun. Il proposa de l'argent, des richesses, tout ce qui lui venait à l'esprit. Le duc refusa tout, car le seigneur n'était pas capable de proposer plus. Finalement, il proposa sa bâtarde, et étrangement, le duc accepta. Le seigneur était surpris qu'il s'était débarrassé de la bâtarde ainsi que préservé son appartenance à Montferrant aussi facilement, mais bien sûr tout aussi rassuré.

Tuilleh, ayant vécu en confinement presque toute sa vie et ne connaissant rien du monde extérieur, fut ravie de se faire emmener à Roquembrun, remplie jusqu'au bord de l'espoir d'une vie meilleure. Tout se passa selon ses espoirs. Le duc la traita comme sa fille, lui fournit une éducation à la fois en ce que la société demandait aux filles, mais aussi en tout ce qui était plus pour les hommes, comme le combat à l'épée et la science politique. Clairement, le duc tenait en faire de la féline son héritière.

Evidemment, on questionnait les décisions du duc. Celui ci était marié, mais son épouse était morte avec l'enfant qu'elle portait et il ne s'était pas remarié, donc on a assumé qu'il était trop fidèle. Il avait un frère et quelques cousins éloignés ainsi qu'une soeur mariée à un certain noble. Le duc était d'une lignée canine et les dirigeants de Roquembrun avaient toujours été canins, personne ne comprit pourquoi il voulait faire d'une gamine quelconque, notamment une féline, son héritière. Et évidemment pourquoi il a abandonné si proche de l'occupation d'un vassal pour cette féline. Le duc n'était pas exactement respecté, mais plutôt craint, car on ne pouvait jamais vraiment savoir ce qu'il pensait mais parlait toujours à ne pas pouvoir laisser les autres le questionner, peu importe combien il pouvait paraître suspicieux.

Tuilleh quand à elle, adorait sa vie à Roquembrun. Elle était tout aussi facilement influençable. Le duc aurait il deviné qu'elle n'avait pas eu une vie heureuse si son "père" était si prêt à la vendre ? Peu à peu, après que le duc fut certain que la féline lui faisait suffisamment confiance, il lui divulgua petit à petit ce qu'il attendait d'elle. Il voulait en effet qu'elle se rapproche de la famille royale en profitant de son statut de féline, jusqu'à ce que la famille Roquembrun puisse accéder au trône. Le duc avait élevé Tuilleh pour qu'elle soit capable de tenir le rôle de dirigeante du duché, qu'elle donne une image de perfection, mais qu'elle soit très docile envers lui. Celle ci ne résista pas à ce que le duc lui imposa, au grand plaisir de ce dernier.

Le matin d'un certain jour, on trouva un cadavre partiellement brûlé qui semblait être celui du duc. Un grand nombre de preuves démontrait que le responsable était un des hommes politiques qui complotait contre le duc, qui aurait envoyé quelqu'un tuer celui ci et qui aurait essayé de se débarrasser du corps en le brûlant. Tuilleh, qui avait été officiellement déclarée comme héritière par le duc, désormais duchesse de Roquembrun, ne se tarda pas à exécuter le "traître".

Evidemment, elle avait de nombreux opposants. De nombreux se doutaient de l'authenticité de la mort du duc, on disait même que le cadavre était celui d'une autre personne, il était à moitié brûlé de toute façon et on ne pouvait pas distinguer les traits marquants du duc. Mais si le cadavre était un faux, pourquoi le duc masquerait il son statut de vivant et laisserait il les rennes du duché à Tuilleh ? On disait aussi que ce serait Tuilleh elle même qui aurait tué le duc à la suite d'un désaccord. Il y avait finalement ceux qui ne questionnaient pas les circonstances de la mort du duc mais n'acceptaient pas la position de la féline. C'était non seulement une féline à la tête d'un duché qui avait toujours été dirigé par des canins mais aussi une femme.

La duchesse prit rapidement l'initiative de s'accorder le support du peuple. Elle fit des visites régulières aux villes et villages du duché, elle lança un programme qui améliorerait rapidement les conditions de vie du tiers état. Elle se montrait généreuse, mais tout aussi sans remord avec tous ses opposants, qui terminaient tous leur vie sous la lame de la guillotine. Elle distribuait les richesses qu'elle confisqua à ceux qu'elle exécuta au peuple et encouragea le développement du savoir. Curieusement, la famille restante du duc ne prit jamais la parole contre elle. Un jour, lorsqu'elle faisait un discours public, on tenta de l'assassiner à l'arbalète. Elle évita le coup et se moqua nonchalante de la tentative lors de son discours, devant un public ébahi. Un autre jour, on tenta de l'assassiner à l'épée, et elle le désarma à mains nues, en talons d'ailleurs, et le tua avec l'épée de l'attaquant.

Sa position était désormais sécurisée, tous ses opposants avaient été éliminés, et ceux qui restaient n'osaient plus prendre la parole contre elle. Le peuple l'adorait car elle lui prêtait beaucoup d'attentions et prenait bien garde à écouter tout le monde, que ce soit les paysans ou les bourgeois. Quand aux autres duchés, les opinions étaient évidemment partagées. Certains plus progressistes voyaient son statut d'un oeil positif, réclamant que c'était une étape envers l'intégration des peuples félins et canins ensemble. D'autres ne la prenaient tout simplement pas au sérieux. Mais généralement, les félins étaient plutôt en bons termes avec Tuilleh.

Caractère :

Ayant passé son enfance négligée et exclue de tout ce qu'un enfant ferait, il est assez facile à comprendre que Tuilleh deviendrait naïve dès libérée de sa cage. Elle était donc docile, obéissante et très influençable à Roquembrun. Pourtant, une face bien plus violente s'est développée inconsciemment à cause de sa colère, une face qui voulait se déchaîner mais sans succès, où une méfiance envers l'autrui demeura. Cette face là ne fit pas surface pour bien un moment. Le duc éleva Tuilleh pour qu'elle soit l'image de la perfection, ce qui fait qu'elle est toujours polie et sereine mais tout aussi vive avec la langue. Elle garde toujours une certaine dominance sur ses interlocuteurs, quelque chose qu'on lui a apprit, car elle devra rappeler les autres de son statut et rester autoritaire même sans être tyrannique. Elle est tout aussi savante, car le duc fit bien soin de l'éduquer dans toutes les disciplines possibles, et peut tenir une conversation avec un intellectuel sans aucun effort. En tant que duchesse, elle reste à l'écoute de ses sujets mais élimine ses opposants sans pitié. Le prix de cette perfection est que Tuilleh n'a jamais eu de temps libre et ne s'est jamais trouvé de passe temps ou de passions à elle. Elle n'a fait rien que travailler mais ne s'en est jamais rendue compte. Le duc, en se montrant tendre et en se servant de son passé, la distrait de ce fait avec succès.

Pourtant, sa face violente se développa aussi dans son inconscient. Celle ci par contre se rendit compte de la manipulation du duc et tenta de dominer la face naïve et innocente. Au final, elle décida d'attendre patiemment. Quand Tuilleh prit finalement le pouvoir, la face innocente prit finalement connaissance de la face rebelle. Les deux se sont au final mises d'accord, et Tuilleh décida qu'elle n'avait pas besoin de faire ce que le duc voulait d'elle. Il l'avait faite dirigeante de son duché, elle pouvait en profiter et contribuer au peuple de Roquembrun. Il voulait qu'elle se rapproche du roi, elle le ferait, pour attribuer ses propres contributions au royaume et non pour satisfaire la soif de pouvoir d'un vieil homme supposé être mort. De toute façon, il ne lui avait précisé comment elle devait s'y prendre pour obtenir le trône. Sauf qu'une nuit, elle fit un rêve dans lequel le duc lui parla. Il lui dit de se souvenir de tout ce qu'il a fait pour elle et de ne pas le décevoir.

Lors des quelques années où elle fut au pouvoir, Tuilleh développa des idées progressistes, telles que l'intégration des félins et des canins, l'égalité des genres ou encore le marché libre. Elle a des ambitions mais doit encore vaincre son conflit intérieur et les images du duc qui apparaissent parfois dans son champ de vision. Elle se parle souvent à elle même, pas vraiment sous forme de soliloque mais plutôt en s'adressant à elle même par la deuxième personne avec son prénom.

"Le devoir d'un duc est de diriger son peuple et de le guider vers de meilleurs avenirs, et non de succomber à l'avidité et la corruption et à sacrifier ses sujets pour des richesses éphémères."

"Tout mot que vous avez prononcé, toute forme que vous avez tracé à l'encre, servit à contribuer à ce monde et non à satisfaire le duc, n'est ce pas, Tuilleh ?"

"Elle foudroya le royaume entier, sa position elle même symbolisait le changement, et elle ne fit qu'apporter plus de changement, telle une Tempête."

Blason personnel :

D'or chargé d'un voilier de gueule au drapeau flottant voguant sur une mer d'azur et d'argent, à l'en-tête d'azur chargé de trois soleils d'or.

(personnage d'étoile de gerfaut)

Prénom :Isaac

Nom :de Crossang

Surnom : le manipulateur.

Age : 31 ans

Sexe : M

Peuple :canin

Apparence et image :Isaac est un loup mince à la silhouette élancée et des yeux jaunes. Son pelage est blanc immaculé, et son museau long et pointu. Il y a toujours une lueur rusée dans ses yeux.

Caractère :Isaac est une personne horrible , qui cherche à "renverser les fondements de ce monde" , et prendre le pouvoir absolu .Il traite ses "sujets" comme des objets, en particulier les femmes. C'est peut-être pour ça qu'il s'acharne pour que la Dame de Crosang cède sa place. Isaac trouvera toujours un mensonge ou une ruse pour faire croire à sa prétendue bonté. Il est cruel, rusé et intelligent. Il est manipulateur, et ce n'est un secret pour personne. Certains le disent comme l'incarnation de la haine. Isaac semble tout prendre pour un jeu, et s'amuser beaucoup lorsque sa proie meurt, en ce sens, il est effrayant.Vu la misère qu'il fait peser sur ses sujets, il n'es pas étonnant, qu'on aie envoyé pas moins de 13 assassins pour le tuer. Aucun n'a réussi, et les tête des 13 assassins sont accrochées sur le mur des ennemis. En effet, le mur des ennemis est un mur où sont acrochées les têtes de ses ennemis morts, au millieu de son palais. Il adore le contempler, ça lui rappelle sa puissance.

Profession exercée : Prétendant au titre de Duc de Crosang

Histoire et famille : Isaac est né quelques années après Louis,son frère aîné, à Crosang. Son père était le duc de crossang, et c'était ainsi en tant que réel trésor de la famille qu'il a grandit (même si on lui préférait Louis).Son père est mort, et Louis est devenu Duc de Crosang., .Isaac a aussi été marié, à une louve (qui semblait avoir du sang de Fennec, mais bon...) du nom d'Ellen.  Il y a maintenant un certain temps, son frère ( déjà marié ) est décédé à la guerre. .Même si personne ne sais quand exactement, Isaac à eut 3 filles et trois fils. Il gâte ses fils et ignore ses filles.Néanmoins, vu le caractère de deux d'entre elles (l'autre étant une idiote), il devrait se méfier...mais vu qu'il considère les femmes comme des objets, il s'en fiche.

 "Vous voyez, tous autant que vous êtes, les têtes sur ces murs ? Et bien, si vous vous retournez contre moi, c'est ici que la votre arrivera." (Devant le mur des ennemis)

Blason personnel : 

D'azur, aux ronces de sable

(personnage en recherche de joueur (joué par Plume de Choucas en attendant))

Prénom : Godefroy

Nom  : De Montferrant

Surnom : le Grand

Age : 44 ans

Sexe : Masculin

Peuple : Félin

Apparence et image : Godefroy est un tigre de grande taille et de carrure massive, au poil grisonnant avec l'âge mais à la stature toujours droite. Il est réputé pour sa force et son adresse au combat, pouvant manier avec souplesse et aisance des armes d'un poids non négligeable, doué aussi bien à pied qu'à cheval. L'âge venant, il n'a peut-être plus la vitalité de sa jeunesse, mais il reste un guerrier et un homme redoutable.

Caractère : Godefroy a été élevé par son père dans la Foi d'Aurès le Grand et dans le virilisme : il faut protéger les femmes, puisqu'elles sont faibles et qu'elle ne peuvent pas le faire toute seule. En échange, c'est bien normal qu'elle restent sages et obéissent à leur mari.

Le tigre est un seigneur réputé juste mais intransigeant, le faire changer d'avis est peine perdue. Il est ferme et fier et ne tolère aucune insulte. Maître incontestable dans sa propre maison.

Si ses valeurs ne sont pas appréciées par tous, il a au moins le mérite de s'y tenir et de les suivre à la lettre. A à ce qu'on sache, aucune ne transgresse les lois édictées par Aurès le Grand. D'ailleurs, il ne tolère aucun hérétique sur ses terres et mène une guerre sans fin contre les prêcheurs de l'Ordre de Kalpac.

Dans sa jeunesse, on le décrivait d'un charisme indéniable. Aujourd'hui, à 40 ans passés, il grisonne et son poil n'est plus aussi lisse, mais il supporte plutôt bien le poids des âges, encore un objet de respect.

Profession exercée : Duc de Montferrant

Histoire et famille : Godefroy est le premier né d'une petite fratrie de 3 garçons. Depuis toujours destiné à régner, il se montrait tout à fait capable et faisait la fierté de ses parents. Il a toujours préféré les travaux sportif aux exercices de pensée : équitation, duel, chasse à cour... Ce qui faisait de lui un prince charismatique et à l'image reluisante, apprécié du peuple, bien qu'il n'ait rien d'un philosophe généreux.

Lorsque son père mourut (il avait alors une trentaine d'années), il prit naturellement sa place. Sa mère, toujorus en vie, se retira de la cour pour porter son deuil.

Plus récemment, Godefroy a choisit d'abriter Isaac de Crosang, après la mort de son frère à la guerre. Il devrait, officiellement, recevoir le trône de Crosang, mais la femme du défunt Duc (Guédelie) et refusé de la céder. Voyant là l'occasion de créer de nouvelles alliances et de s'attirer les bonnes grâces d'une famille puissante, Godefroy a donné son soutient politique à Isaac ainsi que l'asile en attendant de retourner en son chateau de Crosang.

Après maints messages insistants auprès de la veuve de Crosang, celle-ci a finit par déclarer officiellement et en bonne et dues formes... la guerre à Montferrant. Pour l'instant, aucune bataille n'est encore à déplorer, mais cela ne saurait tarder... 

Blason personnel :

Ecartelé d'or et de gueule au cheval cabré de sable