• Pas d'internet, pas de téléphone. Comment communiquer à plusieurs centaines de kilomètres de distance lorsqu'une information urgente doit être partagée ? C'est là toute une problématique, et pas des moindres !

    Les messagers sont bien entendus une réponse. Rapides, fiables, ils connaissent leur métier et s'occupent de relayer les information à travers le (ou "les" !) royaume(s). Mais ce peut être long, même avec une monture et de l'entraînement.

    Les pigeons sont aussi très prisés, plus rapides, pouvant voyager plusieurs jours sans repos. Mais un pigeon est facilement intercepté : il suffit qu'un aigle ou un faucon passe par là, et adieu message de la plus extrême importance. Et bien sûr, il y a l'inconvénient principal des pigeons : ils ne peuvent pas être envoyés n'importe où. Un pigeon voyageur retourne à son nid, ce qui signifie que pour envoyer un pigeon à un endroit, il faut avoir préalablement reçut des pigeons nés dans ce lieu.

    Enfin, il existe des voyageurs qui n'ont pas pour rôle premier l'information : marchands itinérants, ménestrels et baladins... Inconsciemment parfois, il participent à la transmission des informations en Aurorès.


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  • Guédelie de Crosang
    La dame de Crosang
    Âges : 35 ans Sexe : Femelle
    Peuple : Canin
    Physique
    Guédelie est un croisement entre le loup et le border-collie. Elle a le poil gris, long et doux, elle prend plutôt soin de sa fourrure. Son museau, le bout de ses pattes et de sa queue sont blanc comme neige, et ses yeux dorés. Elle porte souvent du rouge, couleur de sa famille mais aussi emblème personnel.
    Caractère
    Guédelie a un caractère fort, elle ne se laisse pas marcher sur les pieds et ne tolère pas la moindre injure. Elle est une femme, c'est un inconvénient, alors elle a prit l'habitude de compenser par sa force de caractère et son autorité. Elle n'a pas beaucoup d'empathie, et fait rarement preuve de pitié. Des sentiments, elle en a, mais il ne l'arrêtent pas lorsqu'elle s'est fixée un but. Elle n'est pas très scientifique, pas très littéraire, mais elle a une intelligence sociale, politique pourrait-on dire. Elle sait s'entourer. Mais si elle juge que quelqu'un lui est inutile ou trop coûteux, elle sait aussi se débarrasser sans états d'âmes : comme je disais, elle ne s'arrête pas à des sentiments comme la pitié ou la compassion. Autour d'elle, on la craint comme on la respecte pour son intransigeance. Elle choisit avec soin ses conseillers. Elle ne tient pas particulièrement à se remarier, mais elle sait qu'elle devra y passer un jour pour perpétrer sa maison. Car il est bon de préciser qu'elle hait les mâles tout autant que les félins.
    Profession : Duchesse de Crosang
    Blason : De gueule au dragon d'argent. On y retrouve l'emblème de Crosang, avec l'argent issus des armoiries de sa famille.

    exemple description:

    Guédelie est l'aînée de la famille Tourmand, première fille avec deux petits frères juste derrière. Elle a été élevée comme une brave petite fille : à faire de la dentelle, de la broderie et des révérences. Pendant ce temps ses frères apprenaient l'équitation, le combat et la chasse. Elle se devait d'être sage et cultivée : on lui apprit l'histoire et la lecture. Elle devait être une bonne épouse : on lui apprit la danse et la politesse. Et surtout, elle ne devait pas se faire trop remarquer : elle n'était "qu'une fille" tandis que le plus grand de ses frères était le joyaux de la famille. Dans cette ambiance misogyne, elle accumulait la rancune patiemment. A ses 15 ans, on la maria au duc Louis de Crosang, un loup mal luné et de 10 ans plus vieux qu'elle, mais c'était un tel honneur pour leur famille... Un duc, vous imaginez ! Et leur souverain direct qui plus est. Bref : elle était simplement l'objet d'une tractation pour améliorer les relations entre Tourmand et Crosang. Et elle en était parfaitement consciente. Mais elle replis son rôle avec honneur, brave petite chienne qu'elle était : elle dansa, reprisa, s'inclina et fit des courbette autant qu'il fallu pour contenter le duc Louis. Ce manège dura près de 10 ans. 10 ans durant lesquels elle fut la "dame de Crosang", découvrant peu à peu les rouages de la politique dans l'ombre de son mari. Elle n'était toujours "qu'une femme", mais elle était aussi "la duchesse". Peu à peu elle prenait sa vie en main, et acceptait de moins en moins d'injures. Il faut aussi préciser qu'elle n'eut jamais d'enfant, au grand désespoir du duc Louis. Le médecin de Crosang affirme qu'elle est stérile, mais elle le nie de bloc. Après ces 10 années (9 pour être précis), son mari partit en guerre contre un seigneur vassal récalcitrant. Il en sortit victorieux... mais sans ses tripes. Le duc Louis n'était plus. Guédelie était désormais maîtresse du château, et en l'absence d'héritier direct du duc, elle se proclama duchesse de Crosang et unique seigneur de ces terres. Les femmes au pouvoir son rares, mais existent. Et vu la réputation qu'elle s'était peu à peu forgée, les opposants étaient rares. D'ailleurs, les "rares" terminèrent soit au cachot soit exécutés publiquement pour trahison. Ce qui passa l'envie à d'autre de se manifester. Guédelie prenait les choses en main, et elle prouvait qu'elle avait de la répartie en politique. Elle menait d'une main de fer son petit duché et sa simple présence à une réception était une animation en soit. On la craignait et la respectait. Même si, pour obtenir cette déférence, elle était obligée de se montrer dix fois plus sévère que feu son mari : malheur à qui n'a pas payé sa gabelle, ou a qui dira un mot de travers ! Malheur au coq qui osera la réveiller le matin, et malheur au porc qui la regardera un instant de trop ! Plus récemment, un conflit l'opposa au duc de Montferrant (en même temps, avec ces saleté des félins, c'est bien normal !). Son beau-frère, le frère de Louis de Crosang, souhaitait réclamer le titre et les terres qu'il estimait lui revenir de droit : en l'absence d'héritier mâle, c'est au frère le plus proche que revient le commandement du duché, et non à l'épouse. Mais Guédelie ne l'entendait pas de cette oreille. Alors, allié au seigneur de Montferrant (qui savait avoir gros à gagner dans cette affaire : aider un duc à monter sur son trône, c'était les faveurs assurée en terme de diplomatie pour des années et des années. Une alliance non négligeable.), il la pressa plus fortement. La situation s'envenima peu à peu, et, finalement, éclata. Il faut dire que le roi Roland Haverblanc, depuis son trône de la capitale, était un roi de paix et ne supportait pas les disputes internes. Il aurait tranché la question dans le vif et aucun des deux n'en serait sortit gagnant. Mais beaucoup plus récemment, le roi Roland Havreblanc... a rendu l'âme. Et son fils Sirius est beaucoup plus jeune et inexpérimenté. L'occasion rêvée. Guédelie n'a pas attendue longtemps après avoir reçu la nouvelle : elle déclara officiellement la guerre à Montferrant. La meilleur des défenses est l'attaque. Advienne que pourra...

    "Je suis une femme, oui. Et donc ? Je pense que j'ai vu plus de sang dans ma vie que tous vos fantassins réunis. Oui, même sans avoir connu la guerre, stupide imbécile !"
    Plume de Choucas

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  • La liste des personnages qui ont été joués par des joueurs aujourd'hui encore actifs. Pour chacun d'eux, dites si vous voulez le garder, le modifier, l'abandonner (il n'a alors jamais existé), le laisser en personnage orphelin ou le tuer (on trouvera une manière crédible de le faire "disparaître").

    Pour les personnages toujours dans cette liste après un mois, je m'offre le luxe de choisir leur destin en fonction des besoins de l'histoire. La mort étant une issue très probable.

    Merci de votre compréhension !

    Fidaè :

    Sylta 

     Grym

    Sungi

     

    Legenduil :

    Sirius de Havreblanc

     

    Plume de Choucas (ouais, c'est moi. J'ai le droit de me menacer toute seule, non ?)

    Hadrian


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  • Pour créer un nouveau personnage, il suffit de remplir le formulaire ci-dessous. N'hésitez pas à soigner vos fiches, elle rendrons le jeu d'autant plus agréable !

    Pour le moment, les inscriptions sont limité au royaume félino-canin. Les personnages peuvent appartenir au peuple de votre choix, mais dans ce cas trouvez-leur une raison de se trouver dans un autre royaume (marchand, ambassadeur, ect...).

    Les inscriptions pour les autres royaumes s'ouvrirons petit à petit. Un joueur peut inscrire un personnage dans un autre royaume que le félino-canin à condition d'avoir déjà au moins un personnage actif et mentionné dans un chapitre des chroniques.

    (personnage de *insérer votre pseudo*)

    Prénom :

    Nom 1 :

    Surnom2:

    Age :

    Sexe :

    Peuple :

    Apparence et image3 :

    Caractère :

    Profession exercée :

    Histoire et famille :

    Réplique4 :

    Blason personnel5 :

     

    1-5  Nom et blason personnel : pour les nobles (voir "grandes familles" et "héraldique"). Si vous ne trouvez pas d'image adéquate ou que vous ne connaissez pas grand chose au langage héraldique, pas de panique : une simple description en langage courant suffira et je (Plume de Choucas) pourrai trouver image et description héraldique.

    2 Le surnom : Facultatif. Mais pas "le surnom de Libellule, c'est Lili !" : ce genre de diminutif viendra pendant le jeu. Ce que j'entends par "surnom", sont plutôt des sortes de titres donnés par des hauts faits, ou une réputation (que le personnage s'avère important ou non dans la société). Ex : la Terreur des mer, le Boiteux, le Scorpion Noir...

    3 Image : Des difficultés pour en trouver une à votre goût ? Faites un tour ici.

    4 Réplique : Une petite phrase qu'aurais pu prononcer votre personnage, ou qui le représente. Facultatif.

    Archives

    En inscrivant un personnage, vous vous engagez à avoir lu et accepté les règles et les explications de base du jeu. En cas de non-respect, vous vous exposez à des sanctions pouvant aller jusqu'au bannissement ou à la suppression de vos personnages.

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  • Quelque soit le royaume, les espions jouent un rôle non négligeable dans la politique. Réseau plus ou moins étendu d'yeux et d'oreilles, rapportant lorsque nécessaire les informations glanées à leur poste. En arrière-plan les maîtres espions récoltent les rapports, les trient et tiennent au courant leurs seigneurs ou supérieurs des faits importants.

    N'importe quel seigneur peut avoir un maître espion à sa cour, mais entretenir des oreilles à travers tout un royaume coûte cher... les plus efficaces travaillent donc souvent pour les comtes ou les ducs... ou les rois bien entendus.

    Quand aux espions eux-même, ils sont souvent attribués à des postes assez banaux : serviteurs, gardes, cuisiniers... Rien de vraiment palpitant... Des postes, banaux, oui, mais proches des hautes sphères. Et aussi longtemps qu'ils resterons discrets et crédibles, ils y resterons. Mais gare à celui qui se fera remarquer : les seigneurs apprécient rarement de se faire espionner, même en sachant que c'est inévitable.


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